Et si les Basques descendaient des Atlantes ?

Publié le 21 Août 2014

Et si les Basques descendaient des Atlantes ?

J'entends bien. Comme ça, là, tout de suite, ça peut prêter à sourire. Mais ce n'est pas dit de façon anodine. Il faut savoir que l'origine de la langue basque et celle du peuple basque restent des cas bien particuliers. La langue est le principal critère qui différencie des peuplades les unes des autres, et celle des basques se démarque totalement de toutes les autres en Europe. En effet, il s'agit d'une langue non indo-européenne et plus ancienne que la majorité des langues pratiquées sur le continent européen. En réalité, personne ne sait vraiment avec certitude les origines de cette langue et de ce peuple. Il y a bien plusieurs hypothèses, et notamment celle de Cro-Magnon, qui est pour moi la plus facile et que je laisserais volontiers aux personnes un peu simples d'esprit, mais il y a également la possibilité d'une parenté avec les Celtes, les Berbères d'Afrique du Nord, les Ibères, et il reste également l'éventualité qu'il s'agisse d'un héritage d'une civilisation oubliée et disparue, considérée comme mythique dans les esprits actuels, à savoir l'Atlantide.

Quand on dit qu'il ne s'agit pas d'une langue indo-européenne, cela signifie qu'elle n'est ni aryenne (cf. http://chris-red.over-blog.com/2013/10/aryen-le-mot-qui-fait-peur.html) ni d'origine latine, et incidemment ses origines seraient bien plus anciennes que le latin, alors que les langues de toutes les régions encerclant le Pays Basque (qui est de surcroît plutôt restreint comparé à la France et l'Espagne) sont d'origine latine. Si on pourrait se dire que le Basque descend des Celtes, des Ibères ou des Berbères, on pourrait tout aussi bien se dire l'inverse car le Basque aurait plus de similitudes avec d'autres langues plus "antiques" que ces dernières. "L'Euskara" est la langue basque, prononcé "éouchekara". Un Basque est un "Euskaldun", "celui qui parle le basque". En rajoutant la particule "ak" nous obtenons le pluriel "Euskaldunak", "ceux qui parlent le basque". Et le Pays Basque se dit "Euskal Herria". Ainsi, le basque semble apparenté à la langue des Guanches, à l'Etrusque, à l'Egyptien primitif, au Tibétain primitif et à certains idiomes américains ressemblant à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Il ne peut s'agir difficilement d'une coïncidence d'autant plus que les Basques n'auraient pas qu'un lien linguistique avec certaines tribus indiennes du continent américain, mais partageraient également un héritage génétique.

En effet, d'après Edgar Cayce, les Atlantes migrèrent pour fuir la destruction finale de la dernière île, 10 000 ans avant J-C, issue de trois immenses masses terrestres situées au milieu de l'océan Atlantique. Atlantis ou l'Atlantide possédait la maîtrise parfaite de l'énergie nucléaire, la télépathie, le courant électrique, la propulsion mécanique de vaisseaux maritimes et aériens, une médecine très sophistiquée…etc, ce qui entraîna sa propre destruction et l'immersion du continent. Selon Cayce, de nombreux survivants allèrent en Amérique du Nord, en Égypte, dans les montagnes pyrénéennes alors que quelques-uns tentèrent de rejoindre le désert du Gobi. Les archéologues ont constamment avancé que les Basques sont arrivés dans la région qu'ils habitent actuellement entre 13 000 et 8 000 ans avant J-C. Si cette théorie est validée, alors il faut s'attendre à ce que l'ADN basque soit en lien avec l'ADN originaire du Sud-ouest de l'Europe, l'haplogroupe V. Je vous avoue que je n'ai aucune idée de ce qu'est cet haplomachin, alors je vais vous servir la définition que j'ai lue telle qu'elle. "Dans la génétique humaine, l'haplogroupe V est un haplogroupe d'ADN mitochondrial humain (mtDNA). L'haplogroupe V est censé être apparut approximativement il y a 12 000 ans, probablement en Ibérie. On le trouve avec des concentrations particulièrement élevées dans la population de Sami en Scandinavie nordique, aussi bien que chez les Basques (12%). L'haplogroupe V dérive de l'haplogroupe HV, qui a également donné la lignée de l'haplogroupe H (dont possède la moitié des Européens, Nord Africains et Moyen Orient). Les faits décrits sont les suivants, les échantillons dentaires et os prélevés sur 121 individus situés sur les sites préhistoriques basques, datant de 3000 à 1400 avant JC, ont démontré une présence élevée de l'haplogroupe H (37.2%) et plus surprenant l'haplogroupe X (9..1%). Cela conclue qu'entre 9000 et 3000 avant JC, des groupes humains avec l'haplogroupe X vivaient dans cette région. Cet haplogroupe X est présent chez, les Algonquins (25%), Sioux (15%), Nuu-Chah-Nulth (11%–13%), Navajo (7%), Yakima (5%), et parmi les Yanomami (12%) et récemment, certains archéologues anglo-saxons ont trouvé des similitudes entre l'industrie solutréenne et les outils tardifs du site de Clovis (Nouveau-Mexique, États-Unis). Avec toutes ces analyses scientifiques, certains ont alors suggéré que les solutréens avaient traversé l'Océan Atlantique durant l'époque glaciaire en longeant ses rivages glacés par cabotage, à l'aide de techniques de survie similaires à celles du peuple inuit actuel. Des recherches sur l'ADN mitochondrial de type "haplogroupe X" présent en Europe et chez certains peuples d'amérindiens indiqueraient la présence d'une lignée européenne ; de plus, les ressemblances trouvées par certains linguistes entre les langues pré-indoeuropéennes que sont le basque et les langues algonquiennes iraient dans le sens de cette thèse." Pour Edgar Cayce, l'haplogroupe X est donc le lien génétique qui relie les Basques aux survivants de l'Atlantide.

Mais, avant de conclure sur cet aspect génétique, revenons-en aux langues si vous permettez. Je disais donc que le Basque semblait apparenté à l'Egyptien primitif, au Tibétain primitif et à l'Etrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Etrusques, les Egyptiens, et les Tibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques, d'où la petite leçon de génétique juste au-dessus. Ce qui est donc propre au mythe de l'Atlantide, c'est cette similitude à être proche aussi bien par la langue et donc le moyen principal de communication et par le physique, et pas seulement par une couleur de peau plus ou moins bronzée, mais surtout par un lien de sang en dépit d'être séparés par un Océan tout de même immense, dont l'homme tel que nous le connaissons a du attendre quelques siècles avant d'être en mesure de le traverser, que ce soit d'abord par les eaux puis par les airs. De plus, aucun de ces peuples n'a jamais montré à notre connaissance des prédispositions pour la navigation, la pêche peut-être, mais ce sont clairement des peuples sédentaires très attachés à ce qu'ils considèrent comme leur terre.De plus, ceci pourrait expliquer l'apparition du bronze en Europe d'après mes recherches. Mais en-dehors de certains objets et outils matériels qui se seraient développé sur certains continents sans qu'on ait aucune véritable explication, ce qui me fascine le plus, ce serait plutôt la prolifération des symboles. Par exemple, il faut savoir que le lauburu, à savoir la croix basque, symbole présent par ailleurs en Alsace également, conserve une origine inconnue. Personnellement, quand je vois sa forme, mon bon sens y voit une ressemblance dans sa forme et dans sa construction avec la fameuse svastika originaire de l'Asie mineure dont la réelle signification est à l'extrême opposé de celle prônée par Hitler (cf. de nouveau http://chris-red.over-blog.com/2013/10/aryen-le-mot-qui-fait-peur.html). Aujourd'hui, l'Église militerait pour un lien religieux et une association au christianisme, mais à mon avis, elle revêt surtout d'un sens spirituel tout comme la svastika et certains parlent d'ailleurs de référence au cycle de la vie, à la rotation du soleil, du ciel et de la terre, qui sont des phénomènes préalables à la christianisation. Il faut savoir en ce qui concerne les basques, que christianisés tardivement, ils adoraient les forces naturelles comme le soleil, la lune, l'air, l'eau, les montagnes, les forêts, ceux-ci prenant des formes humaines.

Par ailleurs, des légendes basques existent et demeurent et feraient notamment référence d'un grand peuple de l'Ouest qui envahirait l'Europe. Mais ces envahisseurs seraient finalement détruits dans un déluge engloutissant leur continent pour toujours. Le roi du Mexique Montézuma II aurait dit au conquistador espagnol Fernand Cortez :

" Nos pères ne sont pas nés ici. Ils sont venus d'une terre lointaine nommée Aztlan, où s'élevait une haute montagne avec un jardin habité par les dieux."

Mais les similitudes des basques avec les peuples d'Amérique ne s'arrêtent pas là. Leurs méthodes agricoles s'inspirent notamment des mêmes principes. Les Basques ne labourent pas, au lieu d'utiliser une charrue, ils retournaient la terre avec une fourche à deux dents, appelées "layas", tout comme le faisaient les Indiens d'Amérique centrale, à savoir les Mayas. Les Basques ont la même coutume que les Indiens du Yucatan, du Brésil et de Colombie, à savoir la "couvade": lors d'un accouchement, le père se met au lit et reçoit les félicitations ! Dès l'Antiquité, le géographe romain Strabon décrivait un costume typique des basques en tout point semblable à celui que découvriraient des siècles plus tard les conquistadores espagnols au XVIème siècle dans certaines tribus d'Amérique, en particulier à celui des Uyacali. Sans oublier la ressemblance entre la pelote basque qui ressemble trait pour trait à un jeu pratiqué par l'ancienne noblesse du Mexique précolombien et les Indiens du Yucatan. Et l'habitude basque de compter par vingtaines, ce qui a donné en français le mot "quatre vingt" se retrouve également en Amérique centrale. En effet les Mayas utilisaient un système à base 20 avec trois signes seulement, dont le zéro. Par un véritable génie dans le maniement des chiffres, ils avaient atteint une précision plus grande que celle de notre Occident dans les calculs astronomiques. Ils utilisaient des chiffres entiers pouvant dépasser le milliard. D'ailleurs le calendrier maya est plus précis que le nôtre : il comprend un calendrier religieux de 260 jours, divisés en 13 groupes de 20 jours, employé avec un calendrier civil, établi sur le soleil, de 365 jours. Celui ci comportait 18 groupes de 20 jours, soit 360 jours. Les Aztèques adopteront ce calendrier et diviseront le temps en cycle de 52 ans, le siècle aztèque.

Mais revenons-en aux Basques. La langue basque, l'Euskara, ne ressemble à aucun autre idiome européen et se distingue nettement des langues indo-européennes. Il s'agit d'une langue synthétique et "agglutinante", ce qui signifie qu'elle agglutine au sujet de la phrase toutes les qualités qui s'y rapportent, réduisant ainsi toute une phrase à un seul mot. Il n'existe pas de termes abstraits, les idées naissant de comparaisons avec des choses concrètes. Selon José-Miguel de Barandiaran, "la langue basque a conservé des éléments vocabulaires de l'âge de pierre". Ainsi, "pierre", se dit "aitz", qui a donné "aitzkora", la hache, "aitzbur", la bêche ou la houe, "aitzkurbegi", le trou du fer de la houe dans lequel est enfoncé le manche, ou encore "aitzto", le couteau. Les outils et instruments courants, faits de métal, ont conservé le nom qu'ils avaient voilà des millénaires, lorsqu'ils étaient encore en pierre... José Miguel de Barandiaran poursuit :"le fait que "urraida (de "orre", or, et "aide", semblable) et "zirraida" (de "zilhar", argent, et "aide", semblable) sont les noms basques du cuivre et de l'étain, et que leur formation réponde justement à l'ordre de l'apparition historique de ces métaux, est également l'indice que le vocabulaire basque conserve des mots ("urre" et "zilhar") antérieurs à la diffusion du cuivre (énéolithique) et de l'étain (âge du bronze). Il ne saurait être question d'affirmer que le basque actuel était déjà parlé il y a plus de dix mille ans, aux temps magdaléniens, mais il est certain que des vocables employés par les magdaléniens de la région pyrénéenne ont été conservés sans discontinuité dans la langue basque depuis ces temps jusqu'à nos jours."

D'étranges similitudes ont été constatées entre la langue basque et certains dialectes esquimaux ou indiens. Par exemple, l'historien Charancey publia une étude dans laquelle il notait que l'Euskara ressemblait aux dialectes parlés par les indiens Delaware et Chippeways. D'autres affinités troublantes ont été relevées entre des noms de lieux situés au Pays Basque et au Yucatan, comme "Tabasco" et "Ta-Basco" (le Pays des Basques)... De plus il n'existe que trois endroits au monde où les langues utilisent des sons "sifflés" ; il s'agit du Pays Basque, de l'Amérique centrale et des Canaries.

Pour conclure, je ne dirais pas que le but est de convaincre mais de donner matière à réfléchir et à se poser des questions, et éventuellement à remettre en question ce que l'on tient pour acquis.

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J
Bonjour,<br /> <br /> Oui, Frère Elyôn est bien le premier et le dernier des Prophètes, ou Elie réincarné, en ces temps de la fin et j'en suis personnellement convaincu ! Car nul homme au monde ne peut apporter autant de Révélations surprenantes, mais toujours en corrélation avec les Saintes Écritures, si Frère Elyôn n'était pas L'Envoyé de la Sainte Trinité ! D'autant plus qu'Elie est annoncé, mais aussi Enock, par la venue des &quot;deux Témoins&quot; dans l'Apocalypse de Saint Jean. Prophétie également révélée par La Sainte Vierge Marie à Mélanie de la Salette. Aujourd'hui, c'est Elie seul qui se présente à nous et c'est une grande grâce pour nous autres Français, mais aussi pour les Européens : Dieu soit loué ! L'autre Témoin, d'après Frère Elyôn interviendra plus tard, lorsqu'il sera prêt. Frère Elyôn le connait, mais lui ignore encore sa Mission. Alors n'hésitons pas à aller sur le Site Sacré, voulu par Dieu, afin que nous recevions une grande Lumière, nous qui sommes dans les ténèbres depuis trop longtemps ! Nous qui croyons détenir une forme de vérité, et bien nous en sommes très loin de la pensée du Père éternel ! Voilà pourquoi, et pendant qu'il en est encore temps, parce que sous peu il sera trop tard, je vous invite cordialement à visiter le Site Sacré...<br /> <br /> QUI FAIT QUOI ? ET OU VA-T'ON ?<br /> <br /> UN SEUL SITE... LA VÉRITÉ ET LA VOLONTÉ DE DIEU, POUR SA SEULE GLOIRE ET LE SALUT DES ÂMES...<br /> <br /> LE SITE EST SACRÉ, CAR IL EXISTE PAR LA GRÂCE DE LA SAINTE TRINITÉ. MERCI DE PRENDRE UN PEU DE TEMPS POUR LE LIRE ATTENTIVEMENT, PARCE QU'IL RÉPOND A TOUTES LES INTERROGATIONS QUE NOUS NOUS POSONS : SPIRITUELLES, POLITIQUES, SCIENTIFIQUES, ESCHATOLOGIQUES, AINSI QUE CONCERNANT LE GRAND MONARQUE ET LE SAINT PONTIFE ANNONCÉS DEPUIS PRES DE MILLE ANS ! ...<br /> <br /> Alors le lire c'est bien, mais transmettre par le biais du Web et partager partout ce Site Sacré : c'est un Acte crucial de Charité chrétienne. Ce Devoir spirituel extrêmement important vaut toutes les prières, car en agissant ainsi, vous obéissez à la Volonté de Dieu et vous serez récompensés par votre Action sainte. Voyez-vous, on peut faire beaucoup, tout en restant chez soi. Merci de votre compréhension...<br /> <br /> Que l'Esprit Saint vous éclaire dans cette lecture Divine et que Dieu vous garde de la Tourmente qui vient...<br /> <br /> LE SITE SACRÉ : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ <br /> <br /> E-mail : frere-elyon@prophete-du-sacre-coeur.com
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